La condamnantion pénale de l’ancien président-directeur général de Vinci pour avoir abusé de son pouvoir de dirigeant dans l’unique but de s’octroyer une des rémunérations les plus importantes des sociétés du CAC 40, qui a fait l’objet d’une large médiatisation dans la presse généraliste, soulève de nombreuses questions juridiques. Retour technique sur un arrêt novateur.